Primaire français (cm1 et cm2)

L’enseignement du français n’a pas dérogé à la révolution pédagogique faite  par l’éducation nationale à partir des années 60 – 70. Nous avions une pédagogie qui marchait bien, il fallait la changer. Le mot révolution n’est pas très adapté parce qu’il donne l’impression d’un progression fantastique ; il faudrait plutôt appeler ce grand virage, le tsunami pédagogique. Le soutien scolaire en français pour les élèves de primaire et du collège est devenu assez problématique en raison du niveau des élèves en français lorsqu’ils arrivent à MATHS Rattrapage est déficient voir dramatique. À la base de ce cataclysme on trouve la méthode globale qui a remplacé la méthode syllabique.

Qu’il est loin le bon vieux temps où on apprenait que B et A faisait BA. Non seulement il va falloir reconnaître des lettres au milieu de mots entiers sans savoir lire, mais aussi on a abandonné l’autre partie de l’enseignement du français qui est l’;écriture. Il ne suffit pas d’apprendre à lire il faut simultanément apprendre à écrire parce que lorsqu’on écrit un texte lorsqu’on écrit des syllabes, lorsqu’on écrit des mots, on les assimile en même temps et lorsqu’on apprend en plus à les écrire avec une belle calligraphie comme c’était le cas avant les années 1960, on assimile parfaitement les bases du français.

Mais aujourd’hui on entoure des syllabes dans des mots, dans des textes écrits polycopiés, et on n’assimile pas la qualité et la beauté de la langue. Pour résumer, l’enseignement du français en classe primaire est passé d’un enseignement structuré à un enseignement déstructuré et déstructurant !

À MATHS Rattrapage nous reprenons tous les fondements à savoir l’apprentissage des sons et leurs écritures, les dictées, des dictées progressives qui s’attachent à enseigner une chose à la fois, plus la conjugaison et la grammaire de la phrase. Le but de tout cela est que les élèves acquièrent dans nos centres de rattrapage les bases, les fondements de l’orthographe grammaticale. Cette orthographe qui fera la différence un jour au cours d’un entretien de recrutement, parce qu’on préférera toujours quelqu’un qui peut écrire en français de manière correcte et sans faute d’orthographe.