Les maths en 5ème

La classe de 5ème et les mathématiques.

La classe de 5ème est une continuation douce de la classe de 6ème on n’y introduit en fait peu de notions beaucoup plus abstraites que celles vues en classe de 6ème. On va y retrouver les grands classiques que sont la numération, les problèmes, la géométrie. On va aussi poursuivre l’enseignement des fractions et on va commencer à aborder les nombres relatifs qui seront pour beaucoup d’élèves leur bête noire qui va les poursuivre jusque dans les classes avancées du lycée.

La difficulté avec l’enseignement à l’école, c’est qu’en France, lorsque nous échouons à enseigner un sujet, au lieu de copier le voisin, qu’il soit suédois ou allemand ou belge ou autre, au lieu de cela et bien on va essayer d’enseigner le sujet une année plus tôt ! Autrement dit, si on échoue à enseigner les nombres relatifs en 4ème à un élève de treize ans, on va essayer de le préparer au même sujet quand il n’en a que douze. Cette « fausse solution » française n’est pas un phénomène isolé. Parce qu’on échoue à enseigner correctement la lecture au CP, n’est-on en train d’essayer d’apprendre à lire et à écrire aux élèves en classe de maternelle ? Bien sûr c’est une hérésie. En tout cas, c’est une mauvaise approche. Lorsque vous échouez à enseigner un sujet, il faut juste poser la question de savoir « comment je pourrais l’enseigner autrement de façon à ce que l’élève comprenne ». Chercher à l’enseigner un an plus tôt, c’est ne pas voir que c’est la pédagogie qui n’est pas bonne et non pas l’élève qui n’est pas assez bon.

L’enseignement des fractions par exemple doit se faire avec la chose elle-même, c’est-à- dire des objets ; et nos élèves à MATHS Rattrapage comprennent souvent en quelques heures ce qu’ils n’avaient pas compris tout au long de l’année. On peut dire qu’il y a là une pédagogie manquante. Donc en classe de 6ème comme en classe de 5 ème , on va retrouver tous les objets fractions ; ceci afin que l’élève touche en premier lieu ce qu’il va ensuite pouvoir se représenter mentalement. Il en sera de même pour les mesures de distance, les aires, les volumes. C’est aussi toute la force de MATHS Rattrapage d’avoir créé ainsi des supports de cours qui font passer l’élève du concret vers l’abstrait et qui font que l’élève pourrait presque se débrouiller seul, simplement en progressant avec ces supports, que l’on pourrait qualifier d’auto-suffisants. Et à chaque point délicat on trouvera l’aide du professeur qui répondra à toutes ses questions et s’assurera que l’élève a acquis des certitudes sur le sujet.